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Fantasy Décomplexée

La fantasy accessible, motivante et créative.

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Page blanche ?

Je te propose ici d’identifier la cause de ta page blanche, que tu aies commencé ton projet ou non. 

Bon, installe-toi, respire, on va regarder ça ensemble.

Tu as une idée que tu aimerais coucher sur le papier ? 

Félicitations, tu es un auteur !

Mais ne t’en fais pas, une panne d’écriture ça arrive à tous les auteurs. Surtout en fantasy, c’est un genre particulièrement exigeant, les blocages sont donc très courants.

Sur cette page, tu trouveras toutes les causes d’une page blanche. Si certaines te piquent ou d’autres résonnent, c’est que tu es sur la bonne voie.

Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il n’y a jamais qu’une seule raison. Alors je t’invite à aller jusqu’au bout de la page (ne serait-ce que parcourir vite fait chaque grande cause). N’hésite pas à noter toutes les causes qui te parlent pour revenir sur celles qui te semblent les plus pertinentes juste après. Des articles seront dédiés à trouver une solution à chacune, qu’elle soit technique ou psychologique.

Si tu arrives au début de la création du blog, tous les articles promis ne sont pas encore écrits et publiés.

A la fin de chaque grande cause, un récapitulatif des articles publiés ou prévus te sera proposé.

N’hésite pas à me faire part d’une préférence sur un article que tu aimerais voir en priorité !

Tu es prêt à mettre des mots sur ton blocage ? Allez ! C’est parti ! Allons démêler tout ça !

Partie 1 : Les blocages intérieurs

  1. Le syndrome de l’imposteur

On va commencer par le blocage le plus courant : le syndrome de l’imposteur !

Celui-là, il est fourbe. Il se glisse dans ta tête pour te raconter des mensonges et te rabaisser. Et le pire, c’est que toi, tu penses qu’il a raison. Alors tu as le sentiment d’être illégitime, pas assez bon, pas à ta place.

Tu penses que tu n’es pas un vrai auteur, que tu n’as pas assez d’expérience pour écrire de la fantasy, que les autres sont bien meilleurs que toi, qu’il faut avoir fait des études littéraires pour écrire. Mais en réalité, rien de tout ça n’est vrai, ce ne sont que des croyances limitantes qui t’empêchent d’avancer.

A cause du syndrome de l’imposteur, tu te compares aux autres, les auteurs publiés, les génies des grandes sagas, aux auteurs super studieux sur les réseaux.

Puis tu te sens trop débutant. C’est ton premier roman donc tu as l’impression de jouer à faire l’auteur.

Et il y a aussi tes proches, ceux qui considèrent l’écriture comme un passe-temps, donc tu penses qu’ils ont raison, que pour toi, l’écriture ne restera qu’un hobby.

Puis il y a toutes ces fausses croyances qui te font croire que tu dois écrire parfaitement du premier coup, que tu ne seras jamais à la hauteur, que les vrais auteurs n’ont pas de doutes.

Sans parler de ce vieux prof de français qui critiquait ton style et ton orthographe, celui qui t’a humilié et découragé.

Et toutes ces insatisfactions constantes sur ton écriture qui n’est jamais assez bien quoi que tu fasses.

Alors ? Toi aussi tu te compares constamment ? Tu as l’impression de devoir prouver que tu as le droit d’écrire ?

Ces articles devraient pouvoir t’aider :

Comment arrêter de se comparer aux autres ? (prévu)

Trop débutant (prévu)

Mon entourage critique ce que j’écris (prévu)

Les croyances limitantes, qu’est-ce que c’est ? (prévu)

Je n’ai pas confiance en moi (prévu)

Vaincre son passé (prévu)

Les grandes sagas (prévu)

  1. Le perfectionnisme

Le perfectionnisme c’est vouloir écrire avec la perfection d’un auteur publié alors que tu es en plein premier jet.

Lui, il est vicieux. Il n’a pas l’air méchant. Il te dit qu’il veut bien faire. Et toi, tu le crois, alors tu te retrouves bloqué pendant 20 minutes sur la même phrase. Tu es incapable de poursuivre tant que ce que tu écris n’est pas parfait. Donc tu réécris dix fois le même chapitre. Alors c’est long, trop long, donc tu n’en vois pas le bout, tu te retrouves découragé, puis écrire devient une corvée. Et bam ! Blocage.

Souvent, c’est parce que tu as peur de gâcher une bonne idée, alors tu la retravailles sans cesse jusqu’à l’écœurement.

Tu as besoin de tout contrôler. Tu connais ton univers jusqu’au plus petit détail. La cohérence doit être parfaite du premier coup. Et ne parlons pas de ton style qui doit être impeccable, sans faute.

Tu penses que les bons auteurs écrivent bien du premier coup, alors tu t’épuises à tout refaire dix, cent fois. Ton premier jet, il doit être propre, sans faute, sans incohérence.

Alors ? Toi aussi tu te relis constamment au lieu d’avancer ? Tu as peur d’écrire quelque chose de moche ?

Le premier jet n’est pas un diamant. C’est la pierre brute sur laquelle tu vas travailler lors de la phase de réécriture.

Si toi aussi tu es trop perfectionniste, ces articles pourront t’être utiles :

L’importance de comprendre ce qu’est un premier jet (prévu)

Les croyances limitantes, qu’est-ce que c’est ? (prévu)

Phase de relecture et réécriture (prévu)

C’est quoi un bon worldbuilding ? (prévu)

Créer un système de magie crédible (prévu)

Vaincre le perfectionnisme (prévu)

Gérer l’insatisfaction (prévu)

Quand commencer à écrire ? (prévu)

Architecte, devient un peu plus jardinier (prévu)

  1. Les peurs

On ne s’en rend pas forcément compte parce qu’on aime écrire, mais souvent, la peur se cache derrière de nombreux blocages. La panne d’écriture n’est qu’une conséquence que ton cerveau met en place pour te protéger de tes peurs inconscientes.

La peur du jugement par exemple. Celui des proches, des lecteurs, qui pourraient te faire des critiques négatives. Tu as peur d’être nul, que l’histoire soit ridicule, que personne n’aime.

Tu as peur de te dévoiler, de mettre des parts de toi dans tes personnages. Comme si, à travers eux, on allait te juger. Tu as peur d’aborder des thèmes sensibles qui te touchent mais que tu ne sauras pas exécuter correctement.

Et si tu avais peur de réussir aussi ? Oui, oui. Tu as peur que la réussite t’apporte une pression supplémentaire. Que l’attente des autres soit trop haute pour toi. Que tu dois faire mieux ensuite.

Tu as peur de ne pas tenir la distance. Si tu commences directement par écrire une longue saga, voir le chemin qui te reste encore à parcourir alors que tu n’en es qu’au début, ça donne le vertige. 

Et la fantasy ? C’est elle qui te fait peur ? C’est exigeant, la fantasy. Il faut construire un univers entier, complexe. La politique, la géographie, la mythologie, les coutumes. Les batailles épiques et les systèmes de magie sont difficiles à gérer.

Et toi ? Tu as peur de quelque chose ?

C’est normal. Les peurs servent à nous protéger. Mais celles liées à l’écriture n’ont pas lieu d’être. Alors je vais t’aider à les faire disparaître, et pour ça, ces articles sont un bon commencement : 

La fantasy, c’est trop compliqué (prévu)

Mon entourage critique ce que j’écris (prévu)

Vaincre son passé (prévu)

Écrire une longue saga (prévu)

Personnage (prévu)

Réussir (prévu)

C’est quoi un bon worldbuilding ? (prévu)

Quand commencer à écrire ? (prévu)

Partie 2 : Les blocages liés au roman

  1. La confusion / flou créatif

Tu veux écrire mais tu es confus, tu ne sais plus où tu vas, ni pourquoi tu voulais écrire en commençant ce projet ? Ça, c’est le flou créatif. Ce n’est qu’un problème technique, donc c’est réglable avec un peu de travail, bien que ça touche pas mal d’écrivains. Mais pour ça, il faut d’abord essayer de comprendre pourquoi.

Ça peut être parce que tu as trop d’idées que tu veux condenser dans un seul roman. Alors tu essaies de tout rassembler, mais ça ne marche pas et tu te perds dans ce que tu voulais au début.

L’intrigue de ton roman est trop floue, alors tu ne sais pas quoi écrire, ni comment. Donc t’écris, et puis tu effaces parce que ça n’a pas de sens ou que ça ne te parle pas.

Ton univers est trop vague. Comme tu n’as pas défini de règles, tu ne sais pas où poser des limites et tu as l’impression de partir n’importe où et de faire n’importe quoi.

Tes personnages sont mal définis. Tu ne connais pas leurs objectifs, leurs valeurs profondes, leur vision du monde. Tu as donc l’impression d’avoir plusieurs copies d’un même personnage.

Ta timeline est trop chaotique. Tu confonds les âges et qui a vécu quoi. 

Tu commences mille intrigues qui ne finissent nulle part.

Tu ne sais plus ce que tu racontes ? Tu n’as plus de fil conducteur ? Tu ne te rappelles plus pourquoi tu voulais écrire cette histoire quand tu l’as commencée ?

 Ne t’en fais pas, ce n’est rien de grave. Tu n’es peut-être pas fait pour être un auteur jardinier – celui qui construit l’intrigue et l’histoire au fil de la plume. Pour l’instant, tu as besoin d’un cadre et de définir toute ton histoire – ou une partie – avant de la commencer. Voici quelques articles qui t’aideront à y voir plus clair : 

C’est quoi un bon worldbuilding ? (prévu)

Construis tes persos (prévu)

Prévoir une bonne intrigue (prévu)

Jardinier, devient un peu plus architecte (prévu) 

Bonne ou mauvaise idée (prévu)

Trop d’idées ? (prévu)

Jardinier ou architecte ? (prévu)

Tu te rappelles pourquoi tu as commencé ? (prévu)

  1. L’histoire ne fonctionne plus

Celui-là, il est triste et il fait mal. Tu ne sais pas pourquoi, mais il y a quelque chose qui te dérange dans cette histoire. Alors tu te bloques en attendant de trouver ce que c’est.

Ça peut être parce que le conflit est trop faible pour les émotions que tu veux donner à voir.

Les enjeux ne sont pas clairs. Tu veux que les personnages se battent pour une cause, mais leurs raisons sont floues ou bancales.

Le ton initial que tu voulais donner est complètement différent de celui que tu donnes réellement. Et le genre ? Il a changé. Ce n’était pas ce genre que tu voulais écrire, mais finalement, il semblerait que c’est celui-là qui construit chaque ligne.

Et les incohérences qui s’accumulent encore et encore. Tu ne sais pas comment tu vas t’en sortir à la réécriture pour toutes les corriger.

Le personnage principal ne porte plus l’histoire. Tu te rends compte qu’il n’est plus qu’une variable parmi tant d’autres dans ton récit. Lui ou un autre, ça reviendrait au même.

Tu as changé depuis que tu as commencé. Tes envies ne sont plus les mêmes, tu ne veux plus raconter ce genre d’histoire. Alors tu t’es lassé.

Tu te rends compte qu’il y a un problème au milieu de l’histoire. Donc tu laisses de côté en te disant que tu y reviendras plus tard ou tu abandonnes parce que tu ne veux pas tout recommencer. C’est un classique.

Tu t’ennuies ? Tu es frustré ? Tu as l’impression que quelque chose cloche ?

Quand ce genre de chose arrive, c’est très difficile à vivre. Mais quand on s’en rend compte, ça l’est encore plus, car il faut prendre une décision. Abandonner, ou reprendre tout depuis le début. A partir de là, il faut essayer de déterminer si cette histoire vaut encore le coup que tu l’écrives, si tu en as encore envie ou non. Si oui, il va falloir la retravailler de fond en comble. Mais je vais t’aider à prendre cette décision à travers ces articles :

Comment savoir quand renoncer ? (prévu)

Reprendre tout depuis le début (prévu)

Le genre peut-il changer au milieu de l’histoire ? (prévu)

Clarifier les enjeux (prévu)

Comment gérer les incohérences ? (prévu)

Construis tes persos (prévu)

Tu te rappelles pourquoi tu as commencé ? (prévu)

Bonne ou mauvaise idée ? (prévu)

Prévoir une bonne intrigue (prévu)

C’est quoi un bon worldbuilding ? (prévu)

  1. Perte de connexion émotionnelle

Celui-ci rejoint le précédent. Tu ressens un décalage avec l’histoire que tu veux raconter, alors tu n’y arrives pas/plus.

Ça peut être parce que tu as choisi ce projet pour plaire. C’est à la mode. Tu vois passer ce genre d’histoire partout sur le Booktok alors tu t’es dit que c’était une bonne idée d’écrire cette histoire, comme ça, elle aurait du succès, tu es sûr qu’elle trouvera son public.

Ce projet ne correspond plus à ton énergie actuelle. Quand tu as eu cette idée, tu étais super motivé, mais maintenant, c’est devenu une corvée plus qu’autre chose car tu n’as plus envie d’écrire cette histoire.

Et cet autre projet ? Celui qui te tente plus que celui sur lequel tu es en ce moment ? C’est lui qui t’empêche de consacrer toute ton énergie au premier ?

Tu es lassé de ce projet car ça fait trop de mois, trop d’années que tu es dessus. Tu ne peux plus le voir en peinture.

Toi aussi, cette connexion émotionnelle a disparu ? Tu te lasses de ce projet ?

C’est plus compliqué à accepter parce que souvent, si on renonce, on a l’impression d’avoir échoué une fois de plus. Tu sais, ce goût d’inachevé quand on a mis beaucoup trop d’énergie dans un projet mais qu’on abandonne ? On se sent vite nul. Mais combien d’auteurs ont déjà abandonné un projet en cours de route ? Tous. On a tous déjà fait ça au moins une fois – si ce n’est pas dix ou vingt. Alors, est-ce que tu dois l’abandonner ? Je t’aide à prendre cette décision dans ces articles : 

Comment savoir quand renoncer ? (prévu)

Reprendre tout depuis le début (prévu)

Tu te rappelles pourquoi tu as commencé ? (prévu)

Bonne ou mauvaise idée ? (prévu)

Tu te lasses plus vite que ce que tu n’écris ? (prévu)

Se motiver à écrire (prévu)

Partie 3 : Ta vie réelle

  1. Manque de temps et charge mentale

Il est parfois difficile de concilier quotidien et loisir. Surtout avec un loisir comme l’écriture qui prend beaucoup de temps juste pour écrire une seule histoire. Alors ça devient très difficile d’écrire.

Tes études prennent trop de place. Tu dois toujours réviser et quand tu as du temps pour toi, tu es trop épuisé pour faire quelque chose d’aussi vorace en réflexion que l’écriture.

Tu travailles à des horaires irréguliers alors tu ne sais pas quand tu pourras accorder du temps à ton loisir. Les imprévus te tombent dessus toujours au pire moment.

Tu as de grosses responsabilités familiales, des enfants à t’occuper. C’est compliqué pour toi de prendre du temps pour écrire sans qu’un membre de ta famille ait besoin de tes bons soins. 

Tu n’as que cinq ou dix minutes par-ci par-là à accorder à l’écriture. Alors, devoir te replonger dans le récit à chaque fois ne t’aide pas à avancer.

Tu attends le moment parfait qui n’arrive jamais. Le moment où tu as toute une après-midi à accorder à l’écriture dans le silence le plus total avec le bon matériel. Mais ta vie ne t’accorde jamais ce moment idéal.

Il est difficile pour toi d’organiser des moments d’écriture dans ta semaine. A chaque fois, quelque chose de plus important prend la place de ton projet.

Tu as tendance à accepter tout ce qu’on te demande, quitte à ne plus avoir de temps pour toi, alors donner du temps à l’écriture de ton roman, c’est impossible.

Le problème c’est le temps ? La charge mentale ? Tu es épuisé ? Surchargé ?

C’est tout à fait humain. Mais écrire peu mais régulièrement, c’est déjà écrire, bien que ce soit toujours compliqué de savoir concilier vie personnelle et passion. L’écriture, qui demande beaucoup de temps et d’attention, est difficile à pratiquer dans ces conditions. Malheureusement, il n’existe pas de solution miracle, mais je vais quand même essayer de te proposer quelques conseils dans ces articles : 

Concilier vie perso et écriture (prévu)

Se motiver à écrire (prévu)

Maman et autrice (prévue)

Trouver du temps pour écrire (prévu)

Le mythe du moment parfait (prévu)

  1. Fatigue, stress, santé mentale

Là, on s’attaque à un sujet plus sensible mais qui touche malheureusement de plus en plus de monde. Aujourd’hui, on vit dans une société qui bouge plus vite que ce qu’on est capable de supporter. C’est comme un jongleur qui ajoute trop de bal, un faux mouvement et le spectacle est terminé.

Le manque de sommeil fait partie de ton quotidien, qu’il soit lié au stress ou au manque de temps pour exécuter toutes tes tâches quotidiennes.

Le stress chronique qui te bouffe toute ton énergie. Tu penses à mille choses à la fois, alors impossible de te consacrer à l’écriture.

Tu es anxieux, comme le stress, ça aspire ton énergie et ton attention.

Tu es déprimé ? Envie de rien. Ne serait-ce que faire le minimum vital est compliqué pour toi. 

Tu es en plein burn-out. Tu es en inactivité physique et/ou cérébrale car tu ne peux plus.

Pour créer, il faut de l’énergie, ce que tu n’as pas – ou que tu ne peux pas mettre où tu le souhaites. Difficile d’écrire dans ces conditions. Je comprends particulièrement bien ces situations et c’est même compliqué pour moi d’écrire ces lignes – et c’est justement pour ça que je peux t’en parler avec sincérité. Pour ces situations spécifiquement, je ne peux que te conseiller d’aller consulter des professionnels de la santé mentale. Mais je vais quand même te proposer quelques articles. Ceux-là seront plus en lien avec mon expérience personnelle que sur l’écriture, peut-être que tu te retrouveras en moi et que ça t’aidera à avancer : 

Stress, anxiété et écriture (prévu)

Burn-out et écriture (prévu)

Dépression et écriture (prévu)

Manque de sommeil et écriture (prévu)

Se motiver à écrire (prévu)

Concilier vie perso et écriture (prévu)

Partie 4 : Le processus et l’environnement

  1. Environnement et distractions

Dans le processus d’écriture, l’environnement dans lequel tu évolues a beaucoup d’importance. Mais on n’a pas tous la chance de pouvoir écrire dans de bonnes conditions.

Rien que le téléphone et toutes ses notifications qui te distraient. Impossible de rester focalisé sur une tâche qui demande une monopolisation entière de ton attention comme l’écriture. 

Si ta maison est bruyante, c’est compliqué pour toi de te concentrer. Que ce soit tes enfants, tes colocs, tes frères et sœurs ou même ton conjoint, c’est parfois difficile de demander le silence et de l’obtenir. Surtout si on t’interrompt toutes les deux minutes pour te demander quelque chose.

Encore plus si tu n’as aucun espace dédié à l’écriture. C’est difficile d’écrire au milieu du monde, dans le désordre ou avec l’ordinateur posé sur les genoux.

Trop de distractions ? Pas assez de calme ?

Beaucoup sont dans ton cas. Lis ces articles, je t’aide à trouver des solutions : 

Maman et autrice (prévu)

Concilier vie perso et écriture (prévu)

Manque de sommeil et écriture (prévu)

Se motiver à écrire (prévu)

Trouver du temps pour écrire (prévu)

Trouver un endroit pour écrire (prévu)

Comment obtenir du calme (prévu)

  1. Processus d’écriture désorganisé

Parfois, on n’arrive pas à écrire parce qu’on manque d’organisation.

Tu n’as pas de routine, alors tu ne sais pas à l’avance quand est-ce que tu vas pouvoir écrire et tu te retrouves interrompu au moment où tu avais trouvé un peu de temps.

Tu as des objectifs irréalistes comme terminer d’écrire ton premier jet en un mois – ce qui n’est possible que si tu as 100% de ton temps et de ton énergie à y consacrer et que tu ne rencontres aucune panne d’écriture ou problème d’ordre technique. 

Ou peut-être que tu écris seulement quand l’inspiration te vient ? Ce n’est pas une mauvaise chose, mais pas forcément une bonne non plus, car l’inspiration peut se trouver absente pendant très longtemps, surtout si tu n’as pas de stimuli dans ton quotidien qui pourrait la ramener.

Tu changes trop souvent de méthode. Tu en essaies dix, à la recherche de la méthode parfaite, mais aucune ne te convient, alors tu stagnes dans l’avancement de ton projet.

Tu écris et réécrit en même temps, ce qui fait que tu avances au ralenti. Pour certains, cette méthode leur convient, mais si ça te ralentit trop, ce n’est sans doute pas fait pour toi.

Et toi ? Tu essaies de t’organiser, mais tu as du mal ? Auteur, c’est être solitaire, essayer de trouver la méthode parfaite, mais tu ne peux pas trouver toutes les solutions seul. Alors je suis là pour te proposer quelques astuces dans ces articles : 

S’organiser une routine (prévu)

Trouver sa méthode d’écriture (prévu)

Se motiver à écrire (prévu)

Jardinier ou architecte (prévu)

Jardinier, devient un peu plus architecte (prévu)

Architecte, devient un peu plus jardinier (prévu)

Trouver un endroit pour écrire (prévu)

Trouver du temps pour écrire (prévu)

Concilier vie perso et écriture (prévu)

Existe-t-il une vraie bonne méthode ? (prévu)

Ecrire quand l’inspiration vient ? (prévu)

Ecrire et réécrire (prévu)

L’importance de comprendre ce qu’est un premier jet (prévu)

Phase de relecture et réécriture (prévu)

  1. Défis propres à la fantasy

La fantasy est un genre exigeant. Il est donc normal de se retrouver bloqué à un moment ou à un autre.

Avec la pression de faire un worldbuilding vaste et original, c’est souvent difficile de continuer d’avancer quand un élément de celui-ci se trouve être plus compliqué à surmonter que les autres.

Tu as peur de manquer d’originalité, donc tu cherches encore et encore l’idée révolutionnaire qui légitimera l’existence de ton histoire.

Et puis il y a ces grandes sagas. Et toi, tu te compares à eux en pensant qu’il faut faire aussi bien, voire mieux, pour devenir auteur, alors que ce qui fait une bonne histoire est profondément subjectif.

Tu te figes devant l’ampleur de ton univers. Tu ne sais pas comment faire rentrer tout ça dans une histoire.

Tu as peur de ne pas savoir représenter correctement une culture, un peuple, une magie. C’est vrai que ces concepts sont vastes dans la fantasy. Et puis, parfois, un point sensible peut être abordé – religion, trauma, etc –, et c’est compliqué de trouver une façon correcte de le présenter sans heurter les sensibilités.

Alors ? Pour toi aussi, la fantasy c’est compliqué ? Elle te tord l’esprit ?

Ne t’en fais pas, tous les auteurs de fantasy se retrouvent plusieurs fois dans leur vie confrontés à ces questionnements. Je te donne des petits tips dans ces articles : 

C’est quoi un bon worldbuilding ? (prévu)

Construis tes persos (prévu)

L’originalité, vraiment nécessaire ? (prévu)

Univers trop grand (prévu)

Aborder des sujets sensibles (prévu)

Culture et peuple (prévu)

Créer un système de magie crédible (prévu)

En conclusion :

Maintenant que tu as identifié toutes les causes de ta page blanche, tu dois te dire que c’est vraiment énorme et que tu ne t’en sortiras pas. Et bien moi je t’assure que tu t’en sortiras ! J’ai moi-même expérimenté quasiment toutes ces causes de la page blanche, et une bonne moitié en même temps. Mais aujourd’hui, je te partage toutes les solutions que j’ai trouvées, les petites astuces que j’ai mises en place et les méthodes que j’ai appliquées.

Mais si, malgré tout ça, tu penses ne pas être fait pour être auteur, je t’invite aussi à lire mon parcours. J’y explique comment je suis devenue autrice, les épreuves que j’ai dû surmonter et, surtout, je te raconte pourquoi je n’étais pas destinée à l’écriture.

La page blanche n’apparaît pas pour une seule raison mais pour tout un ensemble. Maintenant que tu t’es fait une idée des différentes causes qui peuvent t’empêcher d’écrire, je t’invite à choisir celle qui te parle le plus et de commencer par là en lisant les articles qui en parlent. 

Si tu as besoin d’une vue d’ensemble de tous les articles disponibles, je t’invite à aller sur la page trouve ton article, ils y sont rangés par catégorie. 

Ta page blanche n’est pas une fin, juste une pause dans le voyage !

J’espère que ce que tu vas trouver dans Fantasy Décomplexée t’aidera à reprendre ton projet ! 🙂

Je te souhaite une bonne lecture et une bonne écriture ! ❤️

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Suèwa

Je suis autrice de fantasy et je vais t'aider à enfin écrire la tienne !

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